Avec La boîte orageuse, Pauline Abascal dresse dans une série d’épisodes, une cartographie vernaculaire de l’industrie textile japonaise. Une immersion qui laisse apparaître la poésie des actions ouvrières à l’intérieur de ces usines, sans pour autant distiller de vertus pédagogiques. La narration se crée dans les rapports de couleur et d’espaces, de contemplation au rythme du son des machines.