Ce premier long métrage fraîche et attachante, une histoire de conflits conjugaux, fait un peu aller un long chemin, mais certainement pas aussi loin que l'Extrême-Orient. Belleville Tokyo est frappant pour son minimalisme, et tandis que la comparaison avec ces maîtres japonais de l'art comme Ozu serait excessif, le se trouve sur le admirateurs art et d'essai et les circuits de festival.
Directeur Elise Girard a tiré sur son expérience en tant attaché de presse pour une chaîne de faible coût pour les cinémas d'art et le contexte de sa représentation d'un mariage impossible. Marie Valérie Donzelli est bouleversée lorsque son mari Jérémie Elkaïm Julien, un critique de cinéma, l'informe sur un quai de la gare, comme il se dirige sur un hors voyage à l'étranger, qu'il la quitte pour quelqu'un d'autre. Trois mois de grossesse, elle cherche une consolation avec ses parents et dans son travail de Jean-Jacques et Jean-Loup Philippe Nahon, Jean-Christophe Bouvet, les fondateurs-propriétaires des cinémas d'action points de repère pour tous les amateurs de cinéma qui se respecte Paris .
Elle commence à recevoir des appels téléphoniques de Julien, à part de l'inquiétude première pour elle, puis lui dit qu'il lui manque, puis de demander pardon. En un rien de temps, il est de retour dans le lit conjugal. Le mariage semble être de retour sur les rails, mais il reste ombrageux et équivoque.
Quand il quitte pour une absence de deux semaines, sous prétexte d'assister à un festival du à Tokyo, elle découvre par hasard qu'il est resté à Paris pour passer du temps dans l'appartement d'une autre femme. Son téléphone rassurant appelle à son soi-disant de Tokyo, ont en réalité été faite à partir d'un centre de communications dans le quartier de Belleville à Paris.
Quand Julien retourne, Marie feint d'ignorer de la tromperie et le spectateur est maintenu à deviner ses intentions finales que la relation se glisse dans une série de joutes verbales dignes de Strindberg. Girard ni juges ni les motifs des analyses, mais il est clair que Julien est physiquement repoussé par la grossesse de Marie, mais incapable d'accepter l'idée de lui-même comme une femme-lâcheur.