Qu'un puissant industriel recherche le fils unique d'un associé récemment décédé pour lui remettre les 4 millions qu'il restait devoir au papa sur sa partde bénéfices, cela n'est que l'effet d'un bon sentiment ; même si, par ailleurs, on sait que ladite somme n'est que le dixième de ce qu'il devrait lui revenir. Cette situation, étant ce qu'elle est, imaginez l'irruption totalement imprévue de 2 autres fils tout aussi fidèle au portrait du père que le premier. Et pensez au dilemme dans lequel se trouve le "conseiller juridique", oh combien véreux, du soi-disant "fils unique", bien décidé à ne pas partager le magot avec cette génération spontanée d'ayants droits. Rires garantis !